Partenaires

DIM Matériaux anciens et patrimoniaux

Le Domaine d’intérêt majeur (DIM) Matériaux anciens et patrimoniaux est le réseau francilien de recherche consacré à l’étude des matériaux anciens.

Le réseau est structuré en 8 axes de recherche, thématiques et transversaux. Son originalité repose sur sa forte dimension pluridisciplinaire : il s’attache au développement des connaissances propres aux matériaux anciens en faisant dialoguer la physique, la chimie, l’informatique, les sciences de l’environnement, la biologie avec l’histoire, l’histoire de l’art, l’archéologie, la paléontologie et les sciences des textes. Le réseau associe directement des acteurs économiques et sociaux s’engageant dans la recherche et sa valorisation.

IRHT

L’Institut de recherche et d’histoire des textes (IRHT), fondé en 1937, est une Unité propre de recherche du CNRS (UPR 841). Elle se consacre à la recherche sur les manuscrits médiévaux et les imprimés anciens. L’histoire des textes écrits dans les principales langues de culture du pourtour méditerranéen, latin, langues romanes, hébreu, grec, copte, syriaque, arabe, y est traitée dans tous ses aspects : supports matériels de l’écrit, écriture et décoration, contenu textuel, iconographie, diffusion et réception.

Le laboratoire mène par ailleurs la reproduction, le signalement et la valorisation scientifique du patrimoine écrit, spécialement dans les fonds patrimoniaux des bibliothèques de France (hors BnF). Les reproductions concernent avant tout le Moyen Âge et la première modernité, mais leur champ chronologique peut s’étendre jusqu’à nos jours pour ce qui relève des catalogues de bibliothèques anciennes, des listes de livres ou des archives (ainsi, récemment, celles d’Augustin Thierry). Elles alimentent une bibliothèque virtuelle, en ligne depuis 2013 : « ARCA – La bibliothèque numérique de l’IRHT (manuscrits, incunables, archives) » [jusque fin 2020, « Bibliothèque Virtuelle des Manuscrits médiévaux »], https://bvmm.irht.cnrs.fr/.

Archives nationales

Les Archives nationales ont été créées par décret du 12 septembre 1790 (précisé par la loi du 7 Messidor an II) pour centraliser les archives de la Nation et en faciliter le libre accès aux citoyens, dans un objectif de transparence administrative. Elles ont le statut de « service à compétence nationale » du ministère de la Culture et ont pour missions de collecter, classer, inventorier, conserver, traiter, communiquer et mettre en valeur les archives publiques provenant de la Présidence de la République, des ministères (à l’exception des ministères des Armées et de l’Europe et des Affaires étrangères), des opérateurs nationaux de l’Etat, des hautes juridictions (Conseil constitutionnel, Conseil d’Etat, Cour de Cassation, Cour des Comptes), ainsi que les archives des notaires de Paris et des fonds d’origine privée d'intérêt national.

Sur la base de leurs fonds toujours en accroissement - 373 km linéaires d’archives traditionnelles et 70, 1 To d’archives nativement numériques - elles entendent favoriser par une politique d’ouverture et d’accès gratuit à leurs activités tous les usages, amateurs et savants, du patrimoine qu’elles détiennent.

En matière de recherche, elles animent prioritairement un programme de recherche appliquée, corrélé à leurs missions, dans les domaines de l'archivistique, de l'histoire des institutions, des sciences du patrimoine et des sciences des données. Elles demeurent aussi un partenaire influent de la recherche académique en soutenant les approches pluridisciplinaires, afin de renouveler et élargir le regard sur leurs ressources, au-delà de la seule discipline historique.

Fondation des Sciences du Patrimoine

La Fondation des Sciences du Patrimoine est une fondation partenariale placée sous le haut patronage du ministère de la Culture, initialement créée pour assurer la gouvernance du LabEx (Laboratoire d'Excellence) Patrima et de l'EquipEx (Equipement d'Excellence) Patrimex. Elle a pour ambition de structurer et de financer la recherche autour du patrimoine culturel matériel, avec trois axes : la connaissance intime du patrimoine ; l'amélioration des procédés de conservation et de restauration ; l'amélioration des techniques de diffusion des connaissances.

Autres institutions partenaires

Des institutions partenaires ont contribué au projet de valorisation et de numérisation des thèses d'école conservées dans leurs fonds, en les numérisant elles-mêmes ou en nous permettant de le faire dans des conditions privilégiées.

Persée

Archives départementales de l'Eure